Un homard s’est perdu dans les rigoles du Moulin à poudre. Une odeur d’iode le transporte jusqu’au fond du vallon mais il butte inévitablement contre la « Grande Porte ». La mer monterait, selon les dires, à quelques centaines de mètres du corps de garde du Vallon de Kerinou. Longeant les murailles, le crustacé ne la perçoit pas, tente de monter le versant sud du vallon mais en vain. Aiguillé par la retentissante sonnerie de l’Ecole Sainte-Anne, il poursuit son ascension vers le point le plus haut de la colline et… Eureka la voilà !

Du belvédère de la place Albert Premier des scintillements apparaissent au loin. La Penfeld est si précieuse qu’il ne peut que l’observer sans la pincer.