« Une goutte d’eau puissante suffit pour créer un monde et pour dissoudre la nuit ».
Comme dans les thermes de Vals de Peter Zumthor, des sous-espaces permettent chacun une rêverie particulière en se blottissant dans l’eau.
Chaque théâtre offre tout un univers aux songes, une « immensité intime » au sein même des limites qui les renferment.
L’eau s’épaissit, devient profonde ou vaporeuse, chantante ou silencieuse, sombre ou lumineuse, pesante ou élevante. C’est toute la matière de l’eau qui s’offre à la poétique de la rêverie.