Un écosytème autonome, entre biodiversité et énergie

De part sa position en lisière de forêt et la surface offerte par le Parc des expositions, il apparaît comme un lieu stratégique pour l’implantation de serres sur la conservation de la biodiversité locale. D’une surface de 27 hectares le nouveaux bois de Keroual se définit alors comme un jardin botanique lié aux jardins expérimentaux.

Situé entre deux écosystèmes, les ressources naturelles du passage Keroual sont multiples et variées : l’orientation Nord-Sud des sheds de la structure pour l’énergie solaire ; sa position de plateaux dans le pays brest, un avantage pour la force du vent brestois ; la Penfeld et la pluie bretonne, des ressources en eaux non-négligeables ; la biodiversité et la renaturation ; des sources de productions.

Elles permettent la mise en place d’un système autonome, utilisant les ressources locales : les panneaux photovoltaïques et les éoliennes produisent de l’électricité pour le fonctionnement du bâtiment ; par les rayons du soleil, les capteurs solaires chauffe le système aquilifer des serres qui maintient leur température ; déchets vers et boues de curages maturent ensemble pour donner une compost pour les plantes ; l’eau récupérée va les irriguer ; les plantes par leur actions de photosynthèses sont produisent de l’électricité, entretiennent le sol et nourrissent le compost en déchets verts une fois taillées et entretenues.

Fonctionnement d'un écosystème autonome
Fonctionnement d’un écosystème autonome