Nous avons été surpris par le Riachuelo que nous avons découvert, entre Buenos Aires et Avellaneda : entre les friches industrielles et l’habitat précaire, nous avons trouvé des rives fraîches, arborées, une sorte de point de vue presque extérieur à la ville, un regard privilégié sur l’autre rive, où il a fait bon se promener. Mais nous gardions aussi à l’esprit que c’est un des fleuves les plus pollués du monde, à cause des tanneries et des déchets jetés en amont.
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