Comme un parfum de campagne

TRIGNAC, cette compagne qui se voit pénétrer par la ville à travers l’étalement urbain dans ses différents quartiers, «ville compacte», des espaces étendus verts et humides utiles pour l’élevage, l’agriculture et la pêche, nécessaire pour la consommation des citadins. 

Population plus vieille, ouvrière, vivant en vrai campagnards, commerces de proximité, transports en commun limités, elle se voit abandonnée par la jeune population au détriment de la ville. 

Par  ses  grands axes routiers, son échangeur, elle affirme sa posture de ville avec les  conséquences d’un trafic brillant aussi, de plus en plus, par l’installation des activités industrielles dans ses limites.

Néanmoins, elle reste campagne par ses activités de pêches sur le Brivet, la chasse ainsi que ses zones humides et l’habitat. 

À l’opposé de Saint-Nazaire, au sud, où l’on voit des territoires absorbés par des activités d’industrie, de commerces et autres zones, la ville reste une zone d’anti-nature ou tout espace libre est obligé d’être construit.