/ Une limite ancrée dans le quotidien .
L’échangeur du 9 avril est une infrastructure de très grande envergure comme nous avons pu l’esquisser précédemment. Grâce à la carte ci-contre, on peut aussi prendre la mesure de son ampleur, car on s’aperçoit que ce dernier joue le rôle de « frontière » entre les différents quartiers ainsi que la Sebkha. La séparation entre les quartier n’est pas que physique car en effet chacun d’entre eux s’est développé dans son ambiance et indépendamment des autres.
/ Un sacré nœud routier .
Le boulevard qui traverse la partie nord du transect et la route intercommunale Sud faisant le tour de la Sebkha communiquent grâce à l’échangeur. En plus de générer des limites entre les différents espaces du secteur, l’échangeur du 9 avril dans sa forme actuelle est donc un véritable pêle-mêle, qui renforce ainsi le côté massif de l’infrastructure déjà identifié dans le paragraphe ci-dessus. Cela met aussi en exergue que pour réaliser un projet autour de la circulation traversant la zone, cela passe en priorité par une simplification de cet échangeur afin de pouvoir s’appuyer dessus et développer au mieux le projet.
