Une classification paysagère


Lors de l’arrivée sur les franges du marais, un no man’s land, une entité paysagère plate et immense. Les premières impressions devenues intuitions ont permis d’établir des catégories paysagères. Elles parlent des cadrages, de la faune et de la flore, du rapport à l’horizon et au sol. Elles sont poreuses par essence et c’est souvent leur nomination mêlant critères locaux et lieu de voyage qui a permis de convoquer un imaginaire extérieur et de l’y accoler. Cela épaissit la dimension onirique et l’ubiquité des grands espaces. Le rapport au sol et à l’eau génère des mouvements et des questionnements quant à la place de l’homme.

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